Pierre Bertrand et Simon Girard s’octroient un temps, une hétérotopie dans laquelle ils se sont permis de prendre un temps positif dans la perdition, dans la confrontation puis dans la forme d’un projet de création de pièce en solo.
« Cet espace temps au château, un moment de bascule, un moment entre l’automne et l’hiver, un moment de prises de conscience que ce projet va devenir quelque chose qui me dépasse et devient nécessaire, qui se dessine comme les prémisses d’une pièce en solo.
J’ai réuni dans un espace temps commun une amitié et des matières me tenant à cœur. Simon est mon ami de longue date et j’admire sa musique, sa voix.
Nous avons ici mis en jeux nos savoir-faire, et notre relation.
Nous n’en sortons pas indemnes et je reçois une fois de plus une belle leçon de Monthelon. » Pierre Bertrand
